Un groupe de travail (GT) s’est tenu à l’AEFE le 18 juin. Les membres du GT ont travaillé sur les documents relatifs aux évolutions d’ISVL des personnels résidents dans un cadre très contraint car l’enveloppe gobale pour l’AEFE baisse d’environ 1,3 million € (avait déjà baissé d’1 million en janvier et de 200 000 € en avril) : c’est l’effet de évolution de change-prix.
Le SNES-FSU, avec le SNUipp-FSU, a fait des propositions concrètes pour obtenir des revalorisations ou annuler les baisses prévues de l’ISVL de certains pays, en arguant de la situation sécuritaire et de situations de crise impactant les prix et les conditions de vie. L’autre axe d’argumentation a été la faible attractivité de certains pays où des postes d’EEMCP2 ont de surcroît été supprimés. Après échanges et nos interventions, l’ISVL pour le Nicaragua, le Salvador, Haïti et la République Démocratique du Congo, sera augmentée, alors que la tendance pluriannuelle était neutre ou à la baisse. De même la baisse pour Rio, prévue dans les documents de travail, a été neutralisée, pour contrecarrer l’effet change-prix.
Nous avons également attiré l’attention de l’Agence, en vue des prochains GT, sur des pays à faibles effectifs aux situation difficiles (Gambie, Cuba, Angola) ou de gros réseaux (Liban, Madagascar).